10conseils pour tenir ma classe. 10 conseils. pour tenir ma classe. Les jeunes enseignants se sentent souvent désarmés face à l’indiscipline et au chahut. Nous avons recueilli pour vous conseils et témoignages de tous horizons. Des pistes pour faire bloc avec l’équipe éducative et les parents, tout en optimisant votre engagement.
Voilà donc établi que l’ exclusion est un thème déconflictualisé, sans acteur identifié et dont le succès tient précisément à ces deux dimensions. Tentons, pour franchir un pas supplémentaire, de comprendre ce que cela nous dit des modes de lecture des rapports sociaux et de déceler les usages qu’ils autorisent.
Parmieux, le « Sorbet de relations harmonieuses » à concocter pour apaiser les relations conflictuelles. Que l’on soit obsédé (e) par une personne, qu’elle nous fasse peur, nous
LES10 STRATÉGIES. 1. Donner un câlin. Le câlin est rempli de bienfaits. Lors d’une escalade conflictuelle, se donner un câlin, d’une durée suffisante, permet : la libération d’endorphine, réduisant ainsi la pression artérielle et le stress. la sécrétion d’ocytocine, ce qui freine la sécrétion de cortisol plutôt élevée
Sourates invocations et douaas à réciter pour apaiser la tristesse. Ibn Mas`ud qu’Allah l’agréé rapporte que le Prophète (sallAllahou’ alayhi wa salam) leur enseignait de dire : Ô Seigneur ! Je suis Ton serviteur, fils de Ton
X3zB. Article et données mises à jour le 8 juillet 2022 C’est à l’occasion de la journée de la non-violence éducative de ce 30 avril que nous publions ce dossier. Dans ce dossier, nous allons voir ensemble 9 des raisons qui nous ralentissent, voire nous empêchent, d’être en accord autant qu’on le souhaiterait avec notre nouvelle posture respectueuse de l’enfant sans VEO –Violences Éducatives Ordinaires – et ce, bien que l’on connaisse désormais la théorie par cœur. Avant de commencer à répertorier 9 de ces freins à la posture nVEO non VEO, nous tenons à faire un rappel de quelques bases de la posture nVEO et du cheminement vers l’accompagnement respectueux qui va adultes et parents ayant choisi d’adopter une posture nVEO, savons bien que nous sommes responsables de nos propres besoins et de ceux de notre enfant… Nous avons bien compris que l’enfant n’est pas un adulte miniature, qu’il n’en est pas du tout au même stade de développement cérébral que nous et que, de ce fait, nous ne pouvons pas lui demander de réagir et de se comporter comme nous voudrions la société qu’il le fasse. Et pourtant, à notre grand désarroi, la réalité est bien différente de ce que nous espérions il nous arrive encore bien trop souvent de nous énerver contre nos enfants, de mal réagir, de mal leur parler – même parfois, on fait ou on dit des choses tout en se disant mais … que suis-je en train de faire/dire ?! » et pourtant, malgré tout, ça sort quand même, et on le regrette avant même que cela soit terminé. Alors, on culpabilise, on est triste, en colère contre nous-mêmes. Cela peut conduire, dans certains cas, au désespoir et à l’abandon de la posture nVEO. L’accompagnement respectueux se base sur les recherches récentes en neurosciences. Cette posture parentale prend en compte chaque étape du développement du cerveau de l’enfant, afin d’être sûr que les attentes que l’on projette sur l’enfant ne seront pas en décalage avec ces capacités cérébrales du moment. En effet, on a souvent tendance à croire que l’enfant est capable de faire une action, parce qu’il l’a déjà réalisée une fois “tout seul”. On pense aussi parfois que l’enfant fait exprès de ne pas réussir quelque chose, ou qu’il nous cherche ». Une fois que l’on connait les étapes et rythmes du développement de l’enfant, on se rend compte que la plupart de nos attentes sont inadaptées et irréalistes, et que l’enfant est psychiquement incapable de ce qu’on peut lui reprocher, comme le fameux il me cherche ».Pour rappel, voici le listing des VEO Violences Éducatives Ordinaires sur le merveilleux blog Enfances épanouies ». Cette liste regroupe les violences physiques, les violences psychologiques, les violences culturelles, les douces violences, les maltraitances ainsi que les violences VEF, nous disposons également de deux listes de VEO à propos de deux sujets spécifiques IEF Instruction En Famille sans VEO Violences Educatives Ordinaires, POUR UNE INSTRUCTION RESPECTUEUSE DE L’ENFANT Liste des VEO Violences Educatives Ordinaires & problématiques courantes au sein d’une famille recomposée – Pour une famille recomposée en harmonie ! Voir l’article Les douces violences qu’est-ce que c’est ? Ces listes sont là pour connaitre ce que sont les violences, puis petit pas par petit pas, les éradiquer. Comme un but à atteindre. Il s’agit de nous déconditionner de toutes nos croyances éducatives, et d’adopter une nouvelle posture parentale, respectueuse de l’enfant et consciente de ses rythmes de posture peut faire peur pour plusieurs raisons. Tout d’abord, on est conforté dans nos habitudes, alors s’imaginer changer demande un certain effort on fait ce qu’on connaît, parce que l’on a nous-même été élevés comme cela, et que l’inconnu fait toujours peur. Comprendre que l’enfant-roi n’existe pas, comprendre la notion d’adultisme, par exemple, aide beaucoup à se défaire de toutes nos croyances, ancrées dans nos esprits et dans la société toute entière. Résolution puis culpabilité Juste après la lecture d’un nouveau livre nVEO, on est souvent plein d’entrain, un peu comme avec les “nouvelles résolutions” du 1er janvier ; mais, comme pour les espoirs du 1er janvier, très peu de temps après, les résolutions s’essoufflent et hop ! nous voilà de nouveau rongés par la culpabilité car on se sent et incapable de suivre nos propres nouvelles valeurs… mais bonne nouvelle la culpabilité se transforme ! Lorsque le sentiment de culpabilité paraît, il convient d’y prêter la plus grande attention dès les premiers signes, et de considérer ce ressenti désagréable comme un véritable signal d’alarme. Ce sentiment s’explique en deux mots ce sont les dissonances cognitives. Il s’agit de la tension interne propre au système de pensées, croyances, émotions et attitudes cognitions d’une personne lorsque deux d’entre elles entrent en contradiction l’une avec l’autre. Pourquoi choisir cette posture / les effets sur l’enfant Qu’il s’agisse des enfants comme des adultes,, les réactions de notre cerveau face au stress nous viennent d’une autre époque. Certes, désormais aucun animal ne risque d’attaquer notre grotte. Dans notre partie du globe, nous avons acquis un certain confort au quotidien. Néanmoins, de nombreuses situations dans notre environnement provoquent encore en nous de vives réactions. Notre cerveau réagit spontanément au stress par trois réactions Attaque, fuite, l’on a des réactions vives sur l’enfant cris, gestes brusques, froncement de sourcils, cela le place directement dans une situation de stress. Celui-ci provoque alors une chute du tonus musculaire, ainsi qu’une forte production de cortisol l’hormone du stress. Cela a pour effet de bloquer le cerveau de l’enfant ; l’amygdale le centre de la peur et le cerveau archaïque prennent alors le relais, ce qui rend l’enfant totalement indisponible pour gérer la situation, comprendre ce qui se passe, et encore moins apprendre de cette situation “en retenir une leçon”. L’enfant va juste chercher à se protéger, son but est de survivre en attendant que l’orage passe. En revanche, les enfants apprenant par imitation, ils calqueront leur comportement… sur le nôtre si on est violent, l’enfant à son tour sera violent !Le cerveau de l’enfant est immature il sera plus mature à 25 ans, à condition d’avoir été accompagné respectueusement jusque-là et donc l’enfant est tout simplement incapable de prendre du recul immédiat sur une situation. Un enfant ne peut pas détester ses parents ils sont la condition à sa survie, il est totalement dépendant d’eux. Alors, pour survivre dans un environnement familial violent, l’enfant va apprendre à se détester lui-même. Il va peu à peu intégrer toutes les méchancetés qui lui sont dites et faites comme des vérités acquises – s’il mérite toute cette maltraitance, c’est qu’il est vraiment méchant/mauvais/nul, … L’enfant conclut rapidement que si on ne l’aime pas, c’est qu’il ne mérite ni amour ni respect il va alors cesser de s’aimer, avec tout ce que cela implique comme conséquences désastreuses et troubles du a la chance de rencontrer dans sa vie ce qu’Alice Miller appelait un témoin secourable », c’est-à -dire quelqu’un qui saura l’écouter et le revaloriser, il aura un jour le déclic voire plus bas. Il comprendra que ses parents réagissaient contre ses comportements, et non contre sa personne toute entière, et qu’ils étaient mus par leurs propres angoisses intérieures, qui n’ont rien à voir avec lui, mais avec leur propre enfance. S’il n’a pas ce déclic, il pourra être amené à penser toute sa vie qu’il est vraiment nul, mauvais, incapable, contraire, s’il grandit dans un environnement familial respectueux, où règnent la joie, l’amour et le soulagement, le cerveau de l’enfant se développera harmonieusement, et il apprendra des comportements raisonnables » et adaptés. La posture VIOLENTE n’est jamais un choix Nous avons tous rencontré des enfants violents … alors il est légitime de se demander si la violence elle normale ? Réponse Oui et non. Explications Non parce que les petits d’Homme naissent non-violents. Tous. Nous naissons tous non-violents. Nous cherchons tous dès la naissance à recevoir l’amour inconditionnel et le respect de nos parce que la norme est violente. En effet, dans le climat familial et sociétal, ça fait partie de la norme d’être violent. Les enfants apprennent par mimétisme et vivent, en France, pour la plupart dans un climat violent. Les enfants deviennent donc violents. A l’inverse, les enfants qui évoluent dans des environnements sains et non-violents reproduisent ces comportements respectueux. Le déclic Idéalement, certaines personnes ont le déclic de la posture nVEO eux-mêmes, pendant leur enfance, ils se promettent à eux-mêmes de ne jamais reproduire les violences qu’ils subissent de la part de leurs parents. Et dès qu’ils sont devenus parents, ils tiennent leur c’est rarement le cas, en partie à cause de la puissance de l’endoctrinement sociétal, et du conditionnement parental et familial,… alors, à peine adulte on se dit, quand j’aurais des enfants ça filera droit !Certaines personnes ont le déclic au moment de la grossesse, ou de l’accouchement. Ils ressentent une immense vague d’amour et acceptent de se remettre en ont le déclic après avoir donné la 1ère tape. Nous avons souvent entendu ce type de témoignage j’ai frappé, même une petite tape sur la main, et pour la première fois j’ai vu dans le regard de notre enfant qu’il avait peur de nous. Ce regard est un déclencheur. Par exemple, vers 6 mois, quand l’enfant touche à sa première prise, ou s’approche d’un coin de table basse, certains parents réagissent en proférant la première menace ou en donnant une tape sur la main. S’ensuit le premier regard de l’enfant apeuré et la prise de conscience qui va avec Non je ne veux pas de cette relation avec mon enfant. Je ne veux pas que mon enfant ait peur de moi. »D’autres encore, ont le déclic avant ou au cours de leur parentalité, grâce à des lectures, des podcasts ou des vidéos nVEO. Ces médias nVEO se font de plus en plus nombreux. Nous pouvons aider ces familles en leur partageant ces supports. Les blocages Nous allons voir ensemble, que, malgré la lecture de nombreux livres, le temps passé à s’informer grâce aux nombreuses conférences et l’argent dépensé à quelques ateliers parentalité, nous ne sommes toujours pas aussi respectueux que nous voudrions l’être au quotidien. Nous culpabilisons. Nous nous sentons bloqués et avons apprécié progresser au moment du déclic de la non-violence mais une fois passé le stade de la découverte et de l’euphorie des débuts, la pratique se trouve confrontée aux aléas du quotidien, notre cheminement s’essouffle, et on y a plusieurs explications à cela. Nous allons détailler 9 de ces principales raisons dans le point suivant. Soulignons qu’il n’y a pas d’ordre particulier dans ce listing de blocages, même si nous remarquons effectivement que c’est souvent la problématique du poids de l’enfance qui est un problème de fond, et la fatigue qui est très récurrente comme problématique de forme chez les parents avec qui nous avons pu débattre de ce matin, L’OVEO a publié les premiers résultats de son étude menée sur la prise de conscience de la violence éducative ordinaire, réalisée en 5 mois et avec plus de 2000 la fatigue qui est nommée à 90 % comme le facteur poussant les personnes interrogées à recourir à des pratiques violentes, suivie par les difficultés extérieures générant du stress et par le manque de temps pour soi. Sont aussi mis en avant notre propre éducation », les difficultés à comprendre le comportement de l’enfant », le manque de soutien du conjoint ou de la conjointe ». Voici 9 des raisons que nous avons répertoriées pour lesquelles nous avons du mal à rester intègre Poids de l’enfance Nous avons appris notre comportement Humain avec d’autres Humains, par l’exemplarité donc. Si nous avons été habitués à de vives réactions, à être rejetés, humiliés, contrôlés, abandonnés, menacés, que l’on utilise le chantage avec nous, etc, alors il est extrêmement difficile de remplacer ces comportements dangereux par d’autres réactions en empathie, dans le partage, l’Amour inconditionnel etc. Pour la plupart d’entre nous, nos parents nous ont appris que nos comportements étaient mauvais, que ce sont les adultes qui ont raison, que ce sont eux qui savent mieux que nous quels sont nos besoins, ce qui est bon pour nous etc. Par exemple si nos parents réagissaient par la violence lorsque l’on s’essuyait nos mains pleines de nourriture sur nos vêtements, il est fort probable que l’on réagisse nous aussi de manière très vive lorsque notre enfant s’essuie à son tour dans son T-shirt. Maintenant que nous savons que certaines de nos réactions sont liées avec notre propre éducation, nous pouvons y prêter plus ample attention dans notre quotidien et réfléchir avant de réagir est-ce que je choisis de m’adresser de cette façon à mon enfant ou est-ce un comportement subi de par mon conditionnement ? On peut dire à son enfant Lorsque je vois une personne faire ceci, je réagis comme cela, parce que c’est comme ça que mon cerveau l’a appris pendant mon enfance. » Cela permet à l’enfant de ne pas penser que c’est son comportement qui est mauvais, et qu’il comprenne bien que c’est son parent qui est responsable de ses propres émotions. Puis on peut ajouter Je bosse là dessus, je fais du développement personnel, je vais changer ça. Pourrais-tu me dire un code secret lorsque tu remarques que ma posture est adultiste ? Quand ça fait non en toi ? ». Nos enfants sont dans la logique de l’amour, et plein de ressources, et alors suite à cette conversation, beaucoup de parents en arrivent à ces échanges Tu as une proposition, une idée ? Comment aurais-je du faire lorsque mon parent me criait/tapait dessus ? Comment pourrais-je faire aujourd’hui lorsque je suis en présence d’une personne qui a tel comportement et que je réagis par la violence ? ». Il y a aussi le conflit de loyauté qui rentre en compte. C’est un sentiment que nous pouvons ressentir lorsque nous avons l’impression que nous devons prendre parti ou que nous devons choisir entre ce que nos parents nous ont inculqué et ce qui est important pour nous, comme par exemple nos valeurs liées à l’accompagnement respectueux. A nous, parents responsables, de mettre des stratégies en place vers la Paix, la Guérison. Épuisement, hormones, maladie Nous le savons tous, lorsque nous sommes fatigués, c’est quasiment impossible de passer la journée sereinement, de garder sa patience, etc. Lorsque la fatigue est passagère et commence à se faire sentir, il y a urgence, on peut mettre en place des stratégies pour se reposer comme une sieste ou se coucher plus tôt. Découvrez cet article qui livre plein de conseils pour se ressourcer au quotidien. Néanmoins lorsque la fatigue s’installe de manière récurrente à cause d’une maladie, que la fatigue est chronique… ou qu’une grossesse nous épuise, il faut alors repenser notre façon de gérer nos longues journées pour s’économiser un maximum. La grossesse, les menstruations et leurs hormones Les hormones sont des substances sécrétées principalement par les glandes endocrines l’hypophyse, particulièrement active dans la sécrétions des hormones accompagnant le cycle menstruel, la thyroïde et ses compagnes les parathyroïdes, les surrénales. La grossesse induit beaucoup de bouleversements physiques et émotionnels. Le stress d’adaptation, celui qui survient lorsqu’on apprend qu’on est enceinte, n’est absolument pas négatif pour le bébé -dans le ventre-, néanmoins il peut se répercuter sur notre humeur et donc dans le quotidien de notre enfant. Le stress émotionnel, quant à lui, génère de la tension, de la peur, de l’irritabilité. Lorsque nous avons un bébé qui pleure, cela créé une alerte. Cette alerte qui créé des réactions innées telles que l’attaque, la fuite et l’inhibition de l’action sidération provoque des tensions. Lorsque ces scènes sont provoquées à répétition, cela conduit à l’épuisement. A nous, parents responsables, de mettre des stratégies en place vers le Repos, la Santé et l’Epanouissement. Manque de liberté Plusieurs situations peuvent nous amener à cet état de stress induit par notre environnement relationnel Lorsque le parent est chez son parent toxique Il y a aussi le conflit de loyauté qui rentre en compte. C’est un sentiment que nous pouvons ressentir lorsque nous avons l’impression que nous devons prendre parti ou que nous devons choisir entre ce que nos parents nous ont inculqué et ce qui est important pour nous, comme par exemple nos valeurs liées à l’accompagnement respectueux. Si je ne fais pas comme mon père m’a appris, il ne va plus m’aimer. » Lorsque, après un incendie par exemple, on doit loger chez un ami, et qu’on se sent forcé d’appliquer ses règles de vie Nous nous sentons redevables, alors nous nous effaçons. Nous laissons ces personnes violentes prendre le pouvoir sur notre vie. A nous, parents responsables, de mettre des stratégies en place vers l’Accomplissement. Refoulement émotionnel Exprimer ses émotions est essentiel. Il faut bien être conscient que refouler une émotion, ce n’est pas l’effacer, bien au contraire. C’est la mettre dans un coin où elle va ruminer », grossir, se transformer, jusqu’à exploser sous une forme ou une autre – troubles du comportement, maladies, violences. Là encore, on trouve 2 aspects Le refoulement de nos propres émotions ; Le refoulement des émotions de l’enfant, parce qu’elles ne sont pas accueillies comme il se doit par un adulte, témoin secourable » pour reprendre les termes d’Alice Miller, spécialiste sur le sujet. Un adulte dont les émotions n’auront pas été écoutées dans son enfance, aura le plus grand mal à accueillir les émotions de son propre enfant. Néanmoins, pas de panique, il existe des solutions ! Soyez à l’écoute de votre corps, explorer vos réactions dans chaque situation avec votre enfant – que ressentez-vous, qu’est-ce que cela réveille en vous ? vous pouvez coucher cela sur papier, et y réfléchir à plusieurs reprises, c’est un processus qui aide beaucoup. Affranchissez-vous de la pression sociale qui vise à nier les émotions autorisez-vous à exprimer vos émotions, à les partager avec autrui, criez, pleurez, riez, chantez, sans … faites de même avec vos enfants. Écoutez-les exprimer leurs émotions, laissez-les rire ou crier à tue-tête, même si ça fait beaucoup de bruit. Laissez-les pleurer de rage quand ils sont frustrés de ne pas avoir eu ce jouet ou cette glace. Aidez-les à mettre des mots sur chacune de leurs émotions, ça les aidera à les connaître, les reconnaître, et peu à peu à les apprivoiser. Montrez-leur aussi que vous compatissez, que vous entendez leur douleur. Identifiez la cause derrière l’émotion, et proposez-leur des solutions pour éviter que cela ne se reproduise, ou, mieux encore, discutez-en et réfléchissez-y ensemble. Ressentir, accueillir, exprimer. Conflit Lorsque nous sommes en proie à un conflit intérieur, nous sommes naturellement moins disponibles pour notre enfant, même avec la meilleure volonté du monde, l’inconscient faisant son œuvre. Le souci c’est que justement, parce que l’inconscient fait son œuvre, l’enfant lui-aussi ressent notre conflit intérieur. Il va donc en souffrir doublement Parce que nous sommes là sans être là pour lui ; Parce qu’il ressent notre souffrance, et la partage, il la vit entièrement avec nous impact des neurones-miroirs. Le conflit intérieur n’est pas toujours dû à des soucis extérieurs, il peut aussi être un conflit de loyauté, c’est-à -dire un conflit entre le besoin/sentiment d’obligation d’appliquer les méthodes que nous ont inculqués nos parents dans notre propre enfance, et notre envie/intuition de faire autrement. Il est nécessaire que chaque parent travaille sur ces conflits intérieurs, il faut les réduire et/ou leur donner moins d’importance, afin d’en minimiser l’impact sur les enfants. Concernant les conflits du quotidien, problèmes administratifs, conflits au travail, avec le conjoint – il faut apprendre à prendre le temps de discuter, calmement, faire preuve d’empathie, rechercher de solutions ensemble. La méditation peut aider à prendre du recul pour les cas les plus difficiles et les plus envahissants. Concernant les conflits de loyauté, liés à notre propre enfance, les ouvrages d’Alice Miller proposent des pistes afin de travailler sur ce poids de l’enfance, et aident à s’en affranchir. Pour les cas les plus difficiles, où la pression de l’éducation parentale est trop importante, une thérapie peut s’avérer nécessaire. Le but du parent accompagnant est de trouver comment réguler ses conflits intérieurs, afin de se sentir apaisé et de vivre tout ça en harmonie. Pression du temps Le temps … un des grands maux du moment. Combien d’entre nous sont obsédés par cet élément qui nous échappe ? combien d’entre nous essaient de le contrôler ? Et si on arrêtait de se torturer à vouloir tout gérer, et si on acceptait notre condition d’espèce parmi d’autres espèces, pas supérieure, juste différente, et à ce titre soumis aux forces naturelles qui nous gouvernent, comme n’importe quel autre être vivant ? La plupart d’entre nous vivons au quotidien cette pression du temps. Le 1er hic, c’est que nous l’imposons à nos enfants. Le 2nd hic, c’est que, parce que justement ce sont des enfants, ils n’ont absolument pas la même notion du temps que nous ! Alors d’une, on les stresse à tout le temps leur demander de se dépêcher ; de deux, et c’est ce qui rend la chose encore plus grave, ils ne sont absolument pas en âge de comprendre pourquoi tant de pressions. Comment s’en sortir ? Posons-nous les bonnes questions. Est-ce que ce sera si grave, si on arrive avec 5 minutes de retard ? est-ce que de toutes façons, il n’y a pas plein d’éléments autour de nous qui risquent de venir contrecarrer nos plans, quoiqu’on fasse les embouteillages, le retard de la personne avec qui on a rendez-vous, ….Demandons-nous si on ne peut pas réduire notre charge au quotidien ? n’a-t-on pas trop d’activités ? est-ce qu’on n’est pas juste, à courir tout le temps, en train d’essayer de fuir quelque chose qui nous fait peur ? passer du temps en famille sans emploi du temps prédéfini, c’est soulever une question fatidique qu’est-ce qu’on va faire aujourd’hui ? ça fait peur, mais tournez-le autrement, ça peut juste devenir super excitant, puisque tout est possible !Avec toutes ces réflexions, vous devriez aisément réussir à réduire vos charges d’emploi du temps au quotidien. Enfin, il existe une pléthore de choix organisationnels le batch-cooking » vous libère du souci des repas en préparant tout une semaine à l’avance ; divers logiciels ou applications vous proposent de gérer votre emploi du temps à votre place, etc. Tout simplement, vous pouvez aussi vous faire aider, en passant parfois le relais les amis, les membres de votre famille peuvent venir jouer avec les enfants un mercredi s’ils en ont envie ;n’hésitez pas à impliquer les enfants, sans les stresser ni leur mettre la pression, mais en les investissant de responsabilités, qui les raviront parce que ça les valorise en tant qu’individu capable préparer le sac de rando, une liste de courses pour un anniversaire entre copains, les vêtements du lendemain, etc. Vous serez surpris de leurs capacités. Organisation, et relais. Jugement d’autrui Voilà bien un de ces éléments cruciaux de nos sociétés modernes le regard d’autrui. Le regard de l’autre peut être public Quelle maman ou quel papa, lors de situations déplaisantes avec leur enfant crises de colère ou même simples pleurs, ne s’est pas préoccupée de ce que les gens autour d’il/elle allaient penser, parfois même avant de se demander ce qui pouvait ainsi secouer leur enfant ?Ou bien le regard d’autrui peut être dans le cercle familial et relationnel Pourquoi faites-vous l’IEF ? pourquoi optez-vous pour un accompagnement respectueux sans VEO plutôt qu’une éducation classique ? etc. En public, on sent le regard des autres posé sur nous, en attente comment va réagir ce parent ? va-t-il crier ou s’énerver contre son enfant, ou au contraire adopter une posture plus rassurante qui calmera l’enfant ? ne sommes-nous pas, pour la plupart d’entre nous, avides de trouver des solutions faciles et émotionnellement correctes pour tout le monde ?. En privé, on se trouve confronté à l’incompréhension et l’ignorance au sens manque de connaissance des gens qui nous entourent, qui sont souvent englués dans un système ancestral qui, pensent-ils, a fait ses preuves. Si le regard de l’autre n’est pas forcément en posture de jugement, c’est néanmoins ainsi que le parent exposé va le percevoir. Cela ajoute au stress du moment, et peut influer plus ou moins négativement sur la réaction du parent face au comportement de l’enfant. On peut par exemple, ce sera souvent le cas, parer à ce qui nous semble le plus urgent – se libérer du regard d’autrui – plutôt que de veiller à ne pas bousculer ou blesser l’enfant – qui, ne l’oublions pas, vit lui-même un moment difficile, où il a besoin d’aide. Comment alors se libérer du regard de l’autre, et se retrouver disponible à 100% pour aider notre enfant ? Pensez en premier lieu au bien-être de votre enfant. En public, imaginez-vous dans une bulle, juste lui et vous, et réagissez selon vos principes écoute empathique, accueil de l’émotion. En privé, prenez le temps d’expliquer votre posture, et pourquoi vous l’avez choisie. Le monde entier gagnera à ce que les parents choisissant le chemin nVEO, la CNV Communication Non Violente, l’écoute active, etc, partagent avec d’autres leurs connaissances et expériences. Compréhension, soutien, partage. Instabilité financière C’est hélas aussi une des raisons pour lesquelles il est difficile de garder une posture nVEO au quotidien, malgré toute la bonne volonté du monde. Pour beaucoup de familles, l’avenir est incertain, et l’insécurité est grande. Elle ronge les parents au quotidien, eux qui aimeraient tant ne pas avoir ce poids dans leur vie, et être certains de pouvoir toujours subvenir au mieux aux besoins de leurs enfants. Malheureusement, c’est chose quasiment impossible, à part pour quelques rares privilégiés. Il est parfois bien difficile de garder son calme lorsque, par exemple, les enfants jouent » avec la nourriture, et la gaspillent » – ça, c’est notre point de vue de parent qui vit des fins de mois difficiles. L’enfant lui, ne voit pas du tout en quoi ce qu’il fait peut être gênant il découvre, tout simplement. C’est un des domaines où la rigueur et les difficultés de la vie de parent, responsable de la vie des enfants, se voient confrontés à la candide innocence des plus jeunes. Ce dossier très complet nous accompagnera, nous, parents responsables, à mettre des stratégies en place vers l’équilibre budgétaire. Mal bouffe, stress Le stress lié à l’alimentation n’est pas une utopie, pas plus qu’il n’est une fatalité. L’enfant le subit directement son propre stress, lié à ses propres apports alimentaires. Ne négligeons pas l’impact dramatique des colorants et conservateurs dont la nourriture industrielle destinée aux enfants regorge. Il y a également notre propre stress, lié à nos propres apports alimentaires, qui va rejaillir sur nos enfants parce qu’inconsciemment cela influence notre comportement, mais aussi parce que l’enfant le ressent à travers l’impact des neurones-miroirs ce qui induit une imitation de comportement. Le stress est aussi dans notre vie quotidienne, lié à notre rythme de vie cf la pression du temps », à notre mode de vie, ainsi qu’à notre environnement. On peut tous faire des efforts pour modifier nos rythmes et modes de vie, en gardant en tête que cela se fait pour le bien-être de nos enfants. Nous pouvons aussi modifier notre environnement. Par exemple, travailler à éliminer les personnes toxiques de notre entourage par exemple, celles qui pratiquent les VEO n’oublions pas que les enfants retiennent essentiellement ce qu’ils voient, plutôt que ce qu’on leur dit “faire la morale”, et au contraire veiller à s’entourer de personnes qui partagent les mêmes idées et valeurs que nous – plus on s’entourera de personnes véganes par exemple, plus il nous sera facile de devenir végans. Parce que nous aurons des exemples concrets sous les yeux, et parce que le cerveau humain, et a fortiori le cerveau de l’enfant, de par l’impact des neurones-miroirs, aura tendance naturellement à reproduire un comportement qu’il a souvent sous les yeux. A nous, parents responsables, de mettre des stratégies en place vers une meilleure Alimentation, ainsi qu’un meilleur Environnement. Pourquoi j’agis avec violence avec mon enfant, et quelles solutions pour changer ? Voici d’abord un petit exercice à réaliser afin de vous aider à gérer votre montée de stress au moment où elle survient, puis à en identifier l’origine – car non, le comportement de l’enfant n’est pas la vraie raison, il en est seulement l’interrupteur. Je sens la colère monter en moi je m’éloigne de mon enfant afin de le mettre en sécurité. Puis je me pose et je respire. J’ai besoin de retrouver mon calme et l’efficacité de mon cerveau pour accompagner mon enfant, qui, bien loin d’avoir un comportement déraisonnable comme le pensent souvent les adultes, vit lui aussi un moment difficile. Je peux boire un verre d’eau, ouvrir une fenêtre, faire un moment de yoga ou de méditation, me concentrer sur une photo de mon enfant quand il était bébé, ou un moment particulièrement heureux que nous avons passé mesure le stress que j’endure Est-ce qu’il m’envahit totalement, est-ce qu’il est momentané, spontané, unique, nouveau ou plutôt répété, récurrent ? J’analyse mes réactions j’essaye de savoir si c’est la première fois que je stresse pour cette situation, s’il y a des facteurs déclenchant récurrents la présence d’un autre adulte, un moment précis de la journée, un lieu, etc.Je m’autorise un moment d’auto-empathie. Je prends conscience des sensations que j’éprouve dans mon corps lorsque je suis par cet automatisme. J’essaie d’identifier mes besoins, j’en dresse la liste par écrit. Je pourrai ainsi à tout moment relire cette liste, et ainsi mieux comprendre mes besoins, et tout mettre en œuvre pour y répondre, afin d’éliminer la frustration qui mène à la mets en place une stratégie, en rapport avec la situation stressante. J’ai hiérarchisé mes besoins et je m’organise pour y répondre. Par exemple je demande à s’il est possible d’avoir une conversation, un moment en tête à tête, ou bien je repense à ma propre éducation et me questionne sur la façon dont mes propres parents réagissaient lorsque je criais, et sur la façon dont je réagissais quand à leur tour ils criaient, etc Quelques astuces pour nous calmer sur l’instant T Voici quelques outils de régulation du stress pour un parent Boire de l’eau ; Faire un câlin à mon enfant, à mon mari, à un animal les caresses déclenchent une production d’ocytocine, l’hormone de l’amour et de la socialisation ; Me connecter à la Nature regarder les arbres par la fenêtre, sentir des fleurs, toucher une plante, penser à un environnement vert, se promener en forêt. Cela apaise énormément, les études scientifiques ne cessent de le prouver ; Faire des exercices physiques courir, sauter sur place ou sur un trampoline, réaliser une posture de yoga ; Danser, chanter ; Crier en chantant, crier dans un coussin en absence des enfants ; Faire des exercices de respiration, souffler dans une paille ; Compter ; Réaliser des mouvements répétitifs. Voici quelques outils de gestion de situation problématique et stressante pour un couple L’avantage lorsque l’on est en couple, c’est qu’on peut se passer le relais en cas de situation problématique. Cela doit être clairement établi et convenu d’avance. C’est le parent qui a le plus de ressource et qui est le plus calme à l’instant T, qui sera le plus apte à accompagner l’ le couple est confronté à une situation difficile qui nécessite un accompagnement de l’enfant, si l’un des parents se sent submergé par le stress, il doit immédiatement le signaler à l’autre parent, et se positionner en retrait pendant que celui qui reste prend le relais et réconforte l’enfant. Cela peut se faire grâce à un code secret, utilisé dès que l’on sent que la colère monte, monte, monte… Je me sens en zone jaune, … je me sens en zone orange… haaa zone rouge ! Prends le relais stp ! ». L’idéal étant que le parent qui se sent comme ayant le plus de ressources, réagisse dès qu’il entend “zone jaune”, afin que l’autre parent n’atteigne pas la zone orange, et encore moins la rouge, car c’est justement à ce moment-là qu’il risque de devenir violent et de dire ou faire des choses qui font mal et qui seront regrettées par la parent qui se sent stressé pourrait aussi dire je me retire », et le parent le plus apte à accompagner l’enfant pourrait répondre fais-moi confiance » ; ainsi le parent stressé pourrait aller se ressourcer sereinement, sans s’inquiéter pour leur enfant. Comment adopter une posture sereine durable ? Développement personnel C’est à nous, parents responsables, de trouver l’approche parentale qui nous correspond le plus, et d’entamer les démarches nécessaires pour évoluer de manière durable vers un accompagnement respectueux. Ces démarches peuvent être multiples, en voici quelques exemples Thérapies classiques longues On peut passer par ces méthodes les plus connues, à condition de trouver un professionnel qui ait adopté une posture nVEO, sinon la thérapie risque d’échouer voire de causer davantage de mal, les psys ayant souvent tendance à idéaliser les parents et à leur trouver des excuses rapport à leur propre histoire personnelle. N’hésitez pas à poser des questions au psy avant d’entamer la thérapie, vous trouverez une très bonne liste de suggestions sur le site internet d’une spécialiste en la matière, Alice pouvez aussi chercher des praticiens ayant les compétences suivantes Pour un psychologue connaissance des activités mentales et des comportements en fonction des conditions de l’environnement ;Pour un psychothérapeute troubles psychiques ou somatiques et psychosomatiques par des procédés psychiques psychanalyse et pratiques thérapies peuvent être contraignantes et longues. Il peut être difficile de se confier à l’oral. Mais, elles peuvent changer la vie de votre famille. Thérapies brèves On peut passer par ces outils, à condition là encore de trouver une personne qui soit nVEO. Ces thérapies sont rapides. Il s’agit en général d’exposer une problématique en une seule ou en quelques phrases, en début de séance. On fait ensuite le point sur les sensations vécues en fin de séance. Hypnose Sophrologie EFT Emotional Freedom Techniques = techniques de liberté émotionnelle Soins énergétiques Ces soins sont parfaits pour garder une certaine pudeur ! Il y a en général seulement besoin d’exprimer un souhait intérieurement, à l’Univers, ou à soi, ou aux deux à la fois. Il ne faut pas hésiter à laisser les larmes couler pendant le soin et penser à boire beaucoup d’eau pendant les jours suivants ! Reiki EHS Ecoute Holistique Sensitive Lectures Nous conseillons de lire de nombreuses lectures nVEO, pour enrichir nos connaissances au niveau du développement du cerveau de l’enfant. Cela aide à comprendre pour ensuite appliquer. Vidéos Si lire des livres nous semble trop longs, il existe également des vidéos, ainsi que des conférences sur Youtube qui résument assez bien les recherches récentes. Communauté On peut trouver de très bons conseils au sein de forums conseillons le fabuleux groupe facebook Enfances Epanouies – Échanges et conseils sans VEO pensez à remplir le questionnaire d’entrée ! Parrain / Marraine ou nVEO Nous pouvons mettre en place un échange quotidien avec une personne nVEO. Soit nous avons la chance d’avoir directement nVEO pour échanger avec nous chaque jour, soit nous pouvons trouver une marraine ou un parrain nVEO sur un forum de parentalié nVEO. Accompagnement parental coach certifié formé en nVEO Cela se fait de plus en plus, il existe dorénavant des personnes dont c’est le métier. Elles nous accompagnent en général au travers d’une dizaine de séances, pour nous aider à changer de posture, en s’appuyant sur les recherches récentes en neurosciences. Illustrations par amphigary instagram / amphigary facebook / amphigary Nous espérons que ce dossier pourra vous aider à évoluer vis à vis de votre posture parentale. Nous ouvrons le débat à l’occasion de la journée de la non-violence éducative sur les réseaux sociaux VEF, nous serions heureux d’en discuter avec vous souhaitez nous aider ou nous remercier, cela nous ferait très plaisir que vous partagiez notre article. Ce site vous est utile ?Comment nous aider ▶ Partagez nos articles à votre entourage ▶ Soutenez-nous en faisant un don via Utip. ▶ Retrouvez vivreenfamille sur facebook, instagram et twitter ! ▶ Découvrez nos playlists sur youtube
Si l’on parle souvent des attentes des femmes en matière de relation amoureuse les hommes ont bien entendu eux aussi leur mot à dire. Intéressons-nous à leur point de vue à ce sujet. Il n’est pas toujours facile de vivre à deux et de faire durer cette union au fil des années. Être en couple signifie avoir affaire au quotidien à une autre personne, quelqu’un de différent de nous qui n’a pas forcément les mêmes façons de réagir ni les mêmes attentes, que ce soit pour le présent ou pour l’avenir. Heureusement, à force de côtoyer la personne qui partage notre vie on apprend peu à peu à la connaître, à comprendre ce qui l’anime et comment elle est susceptible de réagir face à telle ou telle situation. Encore faut-il être en couple avec quelqu’un qui accepte de se livrer facilement ! Si votre relation amoureuse est récente ou que vous avez devant vous un homme qui quand il s’agit de communiquer se mure dans le silence, voici quelques indications pour vous aider à comprendre ce que votre conjoint peut bien attendre de votre relation ! 1. Une complicité au quotidien Un homme cherche bien sûr auprès de sa compagne une amie. À l’image de la relation qu’il peut entretenir avec ses copains il a envie de se sentir parfaitement à l’aise avec sa femme, pouvoir se comprendre sans même avoir besoin de parler, ne pas avoir besoin de jouer un rôle, de se cacher, partager de bons moments en toute simplicité. 2. Du rire et de la bonne humeur Il est rare de rencontrer de grands adeptes du conflit. De façon générale, les hommes ont envie d’un quotidien heureux, apaisé, et ne cherchent pas les disputes. Nous restons au fond de nous des enfants et il est bon de pouvoir partager des moments de jeux, des blagues et des fous rires avec son partenaire. 3. Un respect mutuel Les hommes comme les femmes ont la nécessité de se sentir respectés au sein de leur relation. Ils ont besoin d’être entendus, écoutés et que leur avis soit pris en compte dans les petites comme les grandes décisions. Ils veulent se sentir utiles et importants au sein du couple. 4. Une connexion physique L’entente physique est importante dans un couple. Au-delà du sexe, il est essentiel de conserver jour après jour des gestes d’affection l’un envers l’autre. Les hommes ressentent souvent l’amour de leur femme plus facilement par des gestes que par des paroles. Ils ont tout comme les femmes besoin de ce contact pour se sentir bien dans leur relation et ne pas avoir l’impression d’être rejeté. 5. Une oreille attentive Si certains hommes ont des amis très proches auprès de qui ils se confient facilement et en toute sincérité, c’est souvent vers leur compagne qu’ils se tournent et qu’ils osent dévoiler certaines craintes, désirs, projets. Un homme attend de sa conjointe qu’elle l’écoute avec attention, sans jugement, il souhaite pouvoir tout lui dire sans que cela n’affecte son image au sein du couple. 6. Se sentir rassuré Le manque de confiance en soi est un mal très répandu ! Les hommes eux aussi ont besoin de se sentir rassurés. Auprès de leurs femmes ils espèrent trouver un soutien. Ils ont besoin de quelqu’un qui les rassurent, qui les complimentent, qui sera là dans les bons comme dans les mauvais moments. Les hommes puisent force et stabilité dans leur relation amoureuse pour avancer plus sereinement dans la vie. 7. Protéger leur partenaire Il est fréquent qu’un homme ressente le besoin et l’envie de se positionner en héros » devant sa femme. Cette notion selon laquelle l’homme devrait jouer le rôle de protecteur au sein du couple est encore bien ancrée dans les mentalités et beaucoup d’hommes souhaitent occuper cette position dans leur couple. 8. Partager des passions Lorsqu’un hobby prend une grande place dans notre vie il est normal d’avoir envie de le partager avec la personne qu’on aime. Si votre mari est par exemple fan de foot, il voudra très certainement vous inviter au stade de temps à autre ! L’un comme l’autre essayez de montrer un peu d’intérêt pour la passion de votre partenaire si vous sentez qu’il s’agit de quelque chose de primordial dans sa vie. 9. Un moteur pour avancer Certains hommes font facilement des projets d’avenir et avancent sans trop se poser de questions. D’autres au contraire auraient plutôt tendance à vivre au jour le jour et à ne pas trop penser à demain. Ce profil d’homme trouve alors en sa partenaire quelqu’un sur qui s’appuyer, qui le pousse à avancer et à envisager le futur avec envie et détermination. 10. Un peu d’indépendance Il existe bien sûr des couples très fusionnels. Cependant de façon générale hommes et femmes aiment garder une certaine indépendance. Il ne s’agit pas là de continuer à vivre en célibataire mais plutôt de conserver des activités à faire seul ou avec ses copains, partager des moments à deux mais avoir aussi des occupations en dehors de son couple. Il existe autant de profils d’hommes que de relations amoureuses différentes. Les règles précédemment citées ne s’appliquent donc pas forcément complètement à votre compagnon. Vous y retrouverez cependant peut-être quelques traits de son caractère et quelques-unes de ses attentes. Autres articles qui peuvent vous intéresser
Mn Surire & Mes Eclαts de Rire sαvent heureusement cαcher ces Peines [...] J'αimerais que tu me regαrde dαns les yeux & que tu me dise que tu es Amureux . J'αimerais que ces rêves deviennent réelles . J'αimerais être dαns tes brαs & ne plus jαmαis les quitter . J'αimerais bien plus que cette simple αmitié . J'αimerais pouvoir tucher tes lèvres αvec les miennes . J'αimerais tut simplement que tu Me dise Je T'αime U Laisse tomber les gars qui te disent des choses un jour & qui le répètent à d’autres le lendemain... ~._ Man Doudou ` _.~
La gestion des émotions, ou maîtrise de soi, est une compétence fondamentale pour qui souhaite apaiser son rapport à lui-même et aux autres. Pour tirer parti d’une émotion, il est essentiel de garder à l’esprit son rôle initial. À savoir être porteuse d’un message utile sur soi-même, sur les autres ou sur la situation que l’on est en train de vivre. Mais sans décodeur, ce n’est pas toujours facile. Lorsqu’elles sont bien utilisées, les émotions peuvent aider à prendre des décisions et à réagir dans certains contextes. Plus elles sont intenses, et plus elles vont pouvoir faire bouger les choses » ! Les compétences émotionnelles représentent la capacité d’une personne à vivre avec ses émotions et celles des autres . Elles permettent notamment aux hypersensibles de faire face aux ascenseurs émotionnels » qu’ils vivent au quotidien. Il y a 5 compétences différentes qui, avec de la pratique, permettent de ne plus subir ses émotions et même de pouvoir les utiliser au mieux. 1 Accueillir et identifier l’émotion C’est la première étape vers la sécurité émotionnelle. Étape simple pour certains qui peut s’avérer difficile pour d’autres telles que les personnes très sensibles. Il s’agit de détecter et d’identifier ses propres émotions. L’objectif est d’identifier l’émotion au moment où elle apparaît. Avant qu’elle ne prenne des proportions trop conséquentes. Pour cela on peut être attentif à ses pensées et à la manifestation physique de l’émotion. On arrête alors l’activité en cours et on scanne son état intérieur tension ou détente. Puis on laisse les émotions venir à soi. Par exemple au lieu de se contenter de réagir, en concentrant uniquement son attention sur l’objet de notre colère, de notre tristesse, de notre angoisse ou autre, on revient à soi. On ramène notre attention sur ce qu’il se passe en soi. Ce qui a pour effet déjà de commencer à l’apaiser. Une fois le mot mis sur l’émotion, il s’agit de l’accueillir telle qu’elle est, sans chercher à la contrôler, la fuir ou la repousser. La méditation de pleine conscience est une excellente pratique pour cela. Lire aussi qu’est-ce que la méditation de pleine conscience et comment la pratiquer ? 2 La comprendre Cette 2e étape consiste à décrypter et interpréter le message de l’émotion. Pour cela on met en lien l’émotion et son intensité avec la situation qui l’a déclenchée. Avant d’identifier les besoins sous-jacents. Être conscient de ses besoins permet de comprendre l’amplitude des réactions émotionnelles. Nourrir soi-même ses besoins permet ensuite de mieux réguler ses émotions. Voir même de limiter l’apparition des émotions désagréables. Exemple j’ai besoin d’être rassurée sur mes compétence dans un domaine précis et que quelqu’un vient critiquer la façon dont je m’y prends. Alors il y a de fortes chances que ça réveille en moi de plus vives émotions que chez quelqu’un qui a confiance en lui. Questions que l’on peut se poser qu’est-ce que cette émotion vient dire de moi ? De mon rapport à cette situation ? Quels besoins se cachent derrière ? Comment puis-je nourrir moi-même ces besoins ? NB 1 nous parlons beaucoup des besoins dans la Communication NonViolente – lire aussi La Communication NonViolente ou CNV NB 2 la confiance en soi est une des 3 composantes de l’estime de soi – lire aussi Qu’est-ce que l’estime de soi ? 3 Exprimer l’émotion Exemple type exprimer relativement calmement les raisons qui nous mettent en colère et ce qu’on ressent et le faire au bon moment ! plutôt que d’exploser et d’envoyer bouler » son entourage. C’est plus intelligent et surtout utile car ça permet d’instaurer un dialogue pour résoudre la problématique qui nous a mis en colère. On peut améliorer bien plus de situation de cette façon. Alors que lorsqu’on s’énerve on se sent mal intérieurement. On agresse, l’autre se sent mal. Donc il réplique. On se sent encore plus mal. Et ça ne résout rien du tout. Cette 3e étape consiste donc à extérioriser intelligemment son émotion. Plutôt que de la masquer et éventuellement finir par exploser » à force d’avoir trop refoulé ou de partir en vrille. Mettre des mots sur ce qu’on vit, ce qu’on ressent, est non seulement salvateur pour soi-même, mais aussi pour favoriser des relations sereines saines et constructives. 4 La réguler Pas toujours facile de gérer un flot émotionnel intense nombre d’hypersensibles pourront en témoigner. Pour aider, il existe des outils de régulation » modifier son interprétation de la situation constater aussi les avantages d’une situation, s’imaginer observateur de la situation et non uniquement protagoniste, se mettre à la place d’un autre protagoniste imaginer ce qu’un l’autre pourrait penservisualiser l’éloignement s’imaginer dans un autre lieu, par exemple un lieu rassurant pour diminuer l’anxiétéréorienter l’attention penser à autre chose quelque chose qui nous fait plaisir, dont nous avons hâte, qui nous met en joie, prendre une position qui demande de l’équilibre par exemple tenir debout sur un pied on est obligé de se concentrer un minimum pour ne pas tomber, donc on est moins concentré sur ce qui nous contrarie Quoi qu’il en soit toutes ces techniques ont pour but de réorienter les pensées. Pour leur éviter de rester bloquées » sur une interprétation de la réalité qui retient les émotions désagréables. Parce que naturellement les émotions ne restent pas, sauf si le mental s’y accroche. Par exemple lorsqu’on commence à ruminer. 5 Savoir l’utiliser à bon escient Lorsqu’une personne vit bien ses émotions, elle comprend aussi mieux celles des autres. Elle peut alors utiliser cette intelligence émotionnelle » pour favoriser des relations plus harmonieuses et nourrissantes avec elle-même et les autres. Mais aussi aider ceux qui le souhaitent à mieux comprendre ce qu’il se passe en eux. Lire aussi comment gérer ses émotions ? premier article sur la gestion des émotions en général » qui complète assez bien celui-ci Chaleureusement Lauren PS Si tu as la moindre question n’hésite pas à me contacter ICI ou sur laurenducret Tu as aimé cet article ? Merci de le partager sur ton réseau social préféré pour aider encore plus de personnes ! Nombre de vues 74
Question Réponse La résolution de conflits au sein du corps de Christ est cruciale, pour plusieurs raisons. Si nous cherchons à éviter les conflits au lieu de les résoudre, cela ne fait que retarder la solution et exacerber les problèmes, car les conflits non résolus gagnent toujours en ampleur et ont des répercussions négatives sur les relations. L'objectif de la résolution de conflits est de parvenir à l'unité. L'unité de l'Église est une menace pour le diable, qui profite de chaque problème non résolu, de chaque racine de colère, d'amertume, d’apitoiement sur soi et de jalousie, pour semer la division. Ces émotions se retrouvent dans la plupart des conflits dans les églises . La Bible dit Que toute amertume, toute fureur, toute colère, tout éclat de voix, toute calomnie et toute forme de méchanceté disparaissent du milieu de vous. » Éphésiens Tout acte de désobéissance à ce commandement provoque des divisions au sein du corps de Christ et attriste le Saint-Esprit. Nous ne devons laisser aucune racine d'amertume » émerger au milieu de nous, pour provoquer des tensions et des divisions Hébreux Nous avons clairement besoin d'une méthode biblique de résolution de conflits. Le Nouveau Testament contient beaucoup de passages qui appellent les croyants à vivre en paix les uns avec les autres. Nous sommes appelés à nous aimer les uns les autres Jean Romains à vivre en paix et en harmonie les uns avec les autres Romains Hébreux à résoudre nos différends 2 Corinthiens à être patients, fidèles et bons les uns envers les autres 1 Corinthiens à faire passer les autres avant nous-mêmes Philippiens à porter les fardeaux les uns des autres Éphésiens et à nous réjouir de la vérité 1 Corinthiens Les conflits sont aux antipodes du comportement décrit dans les Écritures. Il y a des cas où, malgré tous nos efforts, un conflit au sein de l'Église ne peut être résolu, pour diverses raisons. Deux passages du Nouveau Testament décrivent très clairement la procédure à suivre pour résoudre les conflits liés au péché. En Matthieu Jésus décrit cinq étapes à suivre pour reprendre un frère qui a péché. D'après ce passage, en cas de conflit lié au péché, nous devons d'abord reprendre le coupable seul à seul, puis, si cela n'a pas suffi, aller vers lui en petit groupe et enfin, en parler à toute l'église si le problème demeure non résolu. Le deuxième passage est Luc 17. Aux versets 3-4, Jésus dit Faites bien attention à vous-mêmes. Si ton frère a péché [contre toi], reprends-le et, s'il reconnaît ses torts, pardonne-lui. S'il a péché contre toi 7 fois dans une journée et que 7 fois [dans la journée] il revienne [vers toi] et dise J'ai eu tort, tu lui pardonneras. » Le pardon est une dimension fondamentale de la résolution de conflits. Toute procédure disciplinaire doit avoir pour objectif ultime la restauration du pécheur. Certains conflits ne sont pas liés au péché, mais sont davantage une question de personnalité ou de préférence personnelle. Dans ce cas, nous devons examiner nos motivations et nous souvenir du passage qui dit Ne faites rien par esprit de rivalité ou par désir d'une gloire sans valeur, mais avec humilité considérez les autres comme supérieurs à vous-mêmes. Que chacun de vous, au lieu de regarder à ses propres intérêts, regarde aussi à ceux des autres. » Philippiens Si nous sommes en désaccord avec quelqu'un sur la meilleure manière d'atteindre certains objectifs, le budget de l'église, la forme du culte ou une autre question semblable, nous devons en parler jusqu'à trouver un accord. En Philippiens Paul exhorte Évodie et Syntyche à vivre en plein accord dans le Seigneur » et les autres à les y aider. Nous devons nous humilier afin d'être réellement à l'écoute les uns des autres et de lutter pour la paix au sein du corps de Christ Romains 18. Nous devons aussi demander à Dieu de nous diriger et de nous donner sa sagesse Jacques Parfois, il sera préférable de se séparer en reconnaissance du fait que Dieu à des appels différents pour nos vies, mais nous ne devons jamais rester fâchés. La raison pour laquelle la résolution de conflits est si difficile est que nous pouvons être réticents à sortir de notre zone de confort. De plus, nous ne sommes souvent pas prêts à nous humilier au point d'admettre que nous nous sommes trompés ou de faire le nécessaire pour réparer les torts que nous avons causés. Ceux qui parviennent le mieux à résoudre les conflits sont souvent ceux qui préféreraient ne pas avoir à reprendre les autres pour leur péché, mais le font tout de même par obéissance à Dieu. S'il s'agit d'une affaire sans grande importance, le mieux est peut-être de faire preuve de patience et de passer au-dessus Proverbes Si une offense ne peut être ignorée, nous devons rechercher la réconciliation. Ce sujet est d’une grande importance pour Dieu, car la paix entre lui et nous et la paix entre nous sont inextricablement liés Matthieu English Retour à la page d'accueil en français Que dit la Bible de la résolution de conflits ?
apaise le conflit de ton rire