Société Les associations de la ville de Nantes ont alerté la ville et l'État à propos d'un campement de migrants qui s'est installé dans la ville il y a un mois. "C'est très difficile
Enréaffirmant son entière solidarité avec les migrants provisoirement hébergés dans les deux squats du Bas de Chantenay et de Doulon et avec le collectif de soutien aux expulsés de la rue des Stocks qui les soutient, Ensemble ! rappelle l’urgence nécessité de garantir la sécurité à tous les réfugié-es, d’abord en leur garantissant l’accès à un logement décent.
Nous Collectifs de Sans-papiers et MigrantEs, Syndicats, Associations et Marche des Solidarités appelons à des manifestations et rassemblements dans tout le pays le 18 décembre à l’occasion de la Journée Internationale des MigrantEs.
2507/2016 – 05H30 Rennes (Breizh-info.com) - A Bain-de-Bretagne, une commune du sud de l'Ille-et-Vilaine, un collectif de soutien aux migrants se retrouve
Soiréede soutien aux jeunes migrants à Nantes Lundi 13 mai 2019 - à partir de 19h - Stéréolux. Lundi 13 mai 2019 - à partir de 19h Stéréolux - Nantes. Les jeunes migrant(e)s isolé(e)s, séparé(e)s de tout soutien familial, constituent une population particulièrement exposée à la précarité. Suite à une première édition réussie en 2017, le collectif Philomélos se propose
J1bVa. Se connecter Bienvenue ! Connectez-vous à votre compte Récupération de mot de passe Récupérer votre mot de passe Un mot de passe vous sera envoyé par email. Accueil Actualités Abonnement Ce samedi 16 février, un stand inhabituel se tient sur le marché. Le collectif Solidarité migrantes du Lochois est présent pour expliquer ses actions et chercher de nouvelles familles d’accueil. Créé à la fin de l’été dernier, ce collectif vient de mettre en place un groupe de parole psychologique pour les jeunes immigrés accueillis sur […] Achetez le journal Ce samedi 16 février, un stand inhabituel se tient sur le marché. Le collectif Solidarité migrantes du Lochois est présent pour expliquer ses actions et chercher de nouvelles familles d’accueil. Créé à la fin de l’été dernier, ce collectif vient de mettre en place un groupe de parole psychologique pour les jeunes immigrés accueillis sur […] Découvrir Ce samedi 16 février, un stand inhabituel se tient sur le marché. Le collectif Solidarité migrantes du Lochois est présent pour expliquer ses actions et chercher de nouvelles familles d’accueil. Créé à la fin de l’été dernier, ce collectif vient de mettre en place un groupe de parole psychologique pour les jeunes immigrés accueillis sur […] Annonces légales Petites Annonces Marchés publics Contact Contactez la rédaction Contactez le service abonnement Contactez le service publicité Service annonces judiciaires et légales Mohamed, Véronique Paviet, Sandra Blanchet et Modibo, à samedi 16 février, un stand inhabituel se tient sur le marché. Le collectif Solidarité migrantes du Lochois est présent pour expliquer ses actions et chercher de nouvelles familles d’accueil. Créé à la fin de l’été dernier, ce collectif vient de mettre en place un groupe de parole psychologique pour les jeunes immigrés accueillis sur […] Articles populaire À la une Restez Connectés Abonnez vous
Des migrants du camp du square Daviais, à Nantes — L. Venance/ AFP En centre-ville de Nantes, plus de 500 migrants dorment toujours sous des tentes, square collectif d’élus du département appelle les communes de Loire-Atlantique à mettre à disposition des locaux. L’été passe, l’hiver arrive. Ces pauvres gens ne peuvent pas rester dans cette situation. » Ce vendredi matin, le maire de Chaumes-en-Retz, Georges Lecleves, a officiellement lancé un appel à ses collègues de tout le département de Loire-Atlantique, au sujet de la question des migrants. L’édile est le président du collectif Territoires 44, une jeune association regroupant une centaine d’élus sans étiquette et qui prône la solidarité territoriale. Car pour lui, sur ce sujet aussi, tout le monde a un devoir de fraternité à exercer ».Alors que plus de 500 migrants dorment toujours dans des tentes, square Daviais en centre-ville de Nantes, la situation est inhumaine », juge le maire. J’appelle tous les élus, des communes urbaines ou rurales, à mettre à disposition des lieux pour accueillir les réfugiés, et à mobiliser leurs équipes de bénévoles », demande ce vendredi Georges maire de Chaumes-en-Retz George Lecleves - J. Urbach/ 20 MinutesUne dizaine de communes engagéesLe collectif assure avoir convaincu la préfecture d’apporter aux villes volontaires un soutien technique et administratif. Il annonce aussi qu' une dizaine de communes, dans le Pays de Retz ou le vignoble, sont déjà prêtes à mettre à disposition des logements, ou à mobiliser leur réseau associatif pour rechercher des locaux vacants ». D’autres pourraient se joindre au mouvement, et notamment celles qui ont déjà accueilli des migrants, l’année dernière, après le démantèlement du camp de Calais. Georges Lecleves assure savoir de quoi il parle, puisque Chaumes-en-Retz reçoit, depuis deux ans et demi, une famille irakienne. Nous avons financé les matériaux et des bénévoles ont remis en état une maison qui appartenait à la commune, raconte le maire. Les enfants vont à l’école, l’aîné travaille… » Mais il sait aussi que cette solution ne peut être apportée à tous les migrants, mais plutôt à ce qui ont déjà obtenu le statut de réfugié, et dont la situation administrative ne nécessite plus de se déplacer régulièrement à libérer des places dans les centres Au final, l’objectif est que ça libère des places en CADA [centres d’accueil des demandeurs d’asile] pour que les personnes du square Daviais y accèdent », justifie Franck Nicolon, conseiller municipal à Clisson et membre de Territoires44. Et que les familles qui quittent ces centres pour une autre commune puissent s’y installer de façon plus camps de migrants du square Daviais à Nantes - J. Urbach/ 20 MinutesL’initiative a été reçue positivement par le collectif de soutien aux migrants, qui sera associé à sa mise en place. Valérie Oppelt, députée LREM de Loire-Atlantique, a elle aussi salué la démarche, alors qu’elle organisait ce vendredi une table ronde sur l’intégration des migrants par le travail.
Une cinquantaine de migrants ont été évacués ce matin d’un presbytère, squatté depuis août 2014 à l’est de Nantes et propriété de la municipalité, a révélé la préfecture de Loire-Atlantique. L’opération d’évacuation par les forces de l’ordre […] s’est faite en application d’une décision judiciaire prononçant l’expulsion des occupants illégaux, “des personnes isolées avec des statuts différents demandeurs d’asile, réfugiés, ou déboutés du droit d’asile“, a précisé la préfecture dans un communiqué. Le presbytère Saint-Médard de Doulon, propriété de la ville et loué à l’évêché de Nantes, avait été “réquisitionné” en août 2014 par des migrants et leurs soutiens, après leur expulsion d’un précédent squat, appartenant également à la municipalité. Il était occupé depuis par plusieurs dizaines de personnes, essentiellement des hommes venus d’Afrique de l’Est, dont des mineurs, selon Jean Brunacci, membre du collectif de soutien aux migrants habitants du presbytère de Doulon. […] Des entretiens ont été proposés aux personnes expulsées pour permettre, en fonction de leur situation, “d’orienter la plupart vers des solutions d’hébergement ou de mise à l’abri“, a ajouté la préfecture. Le Figaro Merci à Stormisbrewing
Des centaines de migrants » occupaient en toute illégalité, depuis quatre mois, les locaux de l’université de Nantes, avec le soutien d’un collectif d’étudiants mais aussi celui de plusieurs associations, notamment la Ligue des droits de l’homme, la CGT, et même le CROUS. Confrontées à une situation devenue intenable – dégradations », durcissement d’un mouvement à plusieurs visages », confusion des luttes », entrées par effraction dans les locaux techniques », menaces, intimidations physiques sur des personnels » de l’aveu du président de l’université, Olivier Laboux –, les autorités ont procédé mercredi à l’expulsion des squatteurs de ces lieux. D’où ramdam et indignation de la part des assoces et autres collabos de l’immigration-invasion qui, mercredi soir, se sont rassemblés devant la préfecture afin de demander des solutions de relogement et de dénoncer le fait que l’Etat ne remplit pas son obligation de fournir un hébergement à toute personne sans abri ». A noter qu’au terme de ce rassemblement, tard dans la nuit, la façade de l’université a été vandalisée et dégradée à la peinture orange. La suite ? Façon voleur chinois, et toujours avec le soutien des mêmes bien-pensants, le problème » s’est déplacé, lui aussi toujours en toute illégalité, à quelques mètres de là , à savoir dans une ancienne maison de retraite désaffectée, propriété de la métropole, et réquisitionnée » par les divers soutiens aux exilés ». Et cette fois, plus question d’expulsion. Dans une France où l’on ne regarde même plus à deux fois avant de mettre à la rue des retraités ou des familles qui ne peuvent plus payer leur loyer, à Nantes, le maire PS Johanna Rolland, tout en précisant que le maintien sur place des migrants doit se faire sous des conditions précises ? », a décidé de ne pas demander le recours de la force publique [pour déloger les migrants » de l’ancienne maison de retraite] il n’y aura pas d’évacuation jusqu’à la fin de la trêve hivernale ». Tout laisse à penser que même après la trêve hivernale, le dit hébergement se poursuive en toute illégalité. Pierre Malpouge Article paru dans Présent daté du 10 mars 2018
Publié le 07 mars 2019 à 17h33 Le sort d’environ 250 migrants, installés depuis quatre mois à Nantes dans un gymnase et une maison dans des conditions précaires dénoncées par des associations, est menacé par une demande d’expulsion. La justice rendra deux décisions successives les 14 et 28 mars. Il y a toujours des enfants, des femmes et évidemment beaucoup d’hommes dans ce gymnase les mettre à la rue de façon sèche serait une vraie catastrophe humanitaire », a déclaré François Prochasson, membre du collectif de soutien aux migrants, en marge d’une audience qui se tenait jeudi matin au tribunal de grande instance de assignations en référé d’expulsionFin octobre, une soixantaine de demandeurs d’asile avaient été délogés d’un square de Nantes, et avaient trouvé refuge dans le gymnase d’un lycée catholique inoccupé, propriété du diocèse, dans la commune voisine de Saint-Herblain. Les effectifs avaient gonflé et quelques familles étaient également logées dans une maison, portant à environ 250 le nombre de migrants pris en charge par les a fait suite à deux assignations en référé d’expulsion, déposées par le diocèse et le promoteur immobilier propriétaire de la bâtisse. On demande que la ville de Nantes réquisitionne des bâtiments vides pour mettre les personnes à l’abri » indépendamment de leur situation administrative, a déclaré Christophe Jouin, président de L’autre cantine », collectif également engagé dans ce dossier, qui dénonce le ping-pong entre les institutions ».Les bénévoles craignent que les décisions de la justice, qui seront rendues le 14 mars pour la maison et le 28 mars pour le gymnase, conduisent à des expulsions sans délai, fragilisant la prise en charge de ces personnes et leurs chances de relogement.
collectif de soutien aux migrants nantes