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EnFrance, on ne dit d’ailleurs pas autre chose. Cédric Anger (photo ci-dessous) s’est par exemple inspiré de l’affaire Alain Lamare pour composer son film avec Guillaume Canet La prochaine fois je viserai le cœur, qui narre l’histoire, incroyable mais vraie, d’un gendarme-tueur de l’Oise de la fin des années 1970, enquêtant sur ses propres crimes.
Venezdécouvrir dans notre rubrique culture, le nouveau film signé Cédric Anger "La prochaine fois, je viserais le coeur". Un polar avec Guillaume Canet, qui s'est inspiré d'un fait divers qui a semé la psychose dans l'Oise, à la fin des années 70Puis nous restons dans le cinéma; avec une autre sortie, le nouveau film de Mélanie Laurent "Respire" son deuxième long
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LaProchaine fois je viserai le cœur Next Time I'll Aim for the Heart Watch on Hoopla Watch on Kanopy 12 novembre 2014 819 members Between 1978 and 1979, the inhabitants of the Oise are in fear of a maniac who kills several hitchhikers and escape the police. He was then dubbed "the killer of the Oise" is actually a shy
cKkOAa. LA PROCHAINE FOIS JE VISERAIS LE COEUR est la chronique d'un fait divers aussi glaçant que hors du commun. Et pour cause puisqu'il s'agit de l'histoire d'un gendarme qui est aussi un tueur en série ! S'en prenant uniquement aux femmes, le tueur joue avec la police en lui envoyant des lettres anonymes, masquant ses crimes grâce à ses fonctions de gendarme. Le film de Cédric Anger nous place dans la tête du tueur incarné par un Guillaume Canet méconnaissable en tueur froid imperméable. Les films de tueurs en séries français ne sont pas si nombreux mais ceux qui nous placent dans la tête du tueur sont encore plus rares. Il faut bien l'admettre, en France, on a du mal à accuser le coup et de reconnaître que nous puissions avoir, nous aussi, nos tueurs en séries. Durant des années, on admettait la présence de Landru en oubliant volontiers les autres, tous les autres... Relatant ces cas isolés» comme de simples faits divers. Peut-être est-ce aussi de la pudeur. Pourtant il y a le très bon GARDE A VUE opposant un Michel Serrault accusé de crime pédophile face à un sévère Lino Ventura, PEUR SUR LA VILLE mettant en scène un commissaire incarné par Belmondo face à un maniaque harcelant ses victimes par téléphone. Genre malheureux du cinéma français, le film de tueur en série dans la veine d'un HENRY PORTRAIT D'UN SERIAL KILLER ou bien ANGST a enfin droit à son entrée au panthéon du genre avec LA PROCHAINE FOIS JE VISERAIS LE CŒUR. Plongée dans un univers froid, celui d'une banlieue morne et grise, ressemblant à la campagne profonde, les pieds dans la boue, la forêt aux arbres morts, la nuit orangée des lampadaires, les blagues douteuses des collègues gendarme, le ridicule parfois honneur de l'uniforme, la peur qui gangrène la société, et au milieu de cet univers grisâtre, un personnage sans expression et sans émotion, qui traverse la ville tel un prédateur, l'œil vissé sur les jupes des filles, attendant la proie facile, guettant l'instant, tentant de noyer son désespoir, se punissant, pourquoi, lui-même l'ignore, haïssant les autres, le monde, l'humanité et lui avant toute chose, tentant vainement de redorer son blason, d'aborder fièrement l'uniforme, la seule chose qui puisse encore le sauver de lui-même, suppliant ses collègues de l'arrêté, les mettant au défi de le tuer, ce tueur fou, ce tueur monstrueux, fondant en larme quand il doit tuer, essayant d'aimer, de vivre normalement, de souscrire à la banalité morne de la vie qui le mord, le griffe, insupportable vie qu'il ne parvient à tenir. Le tueur est un homme insensible et froid. Tout du moins, c'est ainsi qu'il se voit, en guerrier tel qu'il l'annonce à la gendarmerie à qui il adresse ses lettres, telle une réponse à retardement puisqu'il en fait lui-même parti. Faible et fragile, sensible et nerveux, il est un amas de douleur et de souffrance misérable, sa haine pour lui-même le pousse à repousser la femme qui l'aime, à forcer son petit frère en admiration devant lui à fourrer ses chaussures de caillou, il se flagelle, il lit l'humiliation dans chaque rire, il se voit monstre dans le miroir et sa haine contre lui-même se déverse sur le monde entier. Dégueuli qu'il déverse comme une abomination ressentie. Pour nous faire rentrer dans la tête d'un tel tueur, le film tente de nous faire ressentir son dégoût aussi bien pour le monde que pour lui-même. Les vers que le personnage voit partout ainsi que la saleté qui envahi le monde. L'odeur pestilentielle qu'il sent, "ça pue" dit-il en entrant chez celle qui l'aime. Les gros plans sur la chair de son dos rougie par l'eau bouillante qu'il y verse, le visage comprimé par la douleur alors qu'il se plonge dans un bain de glace, le sang coulant le long de son bras enlacé profondément par du barbelé, il y a une simplicité de mise en scène, quelques idées par ci par là , les gros plans sur des lèvres pincées, des plans sans profondeur de champs où le tueur semble encore plus seul. L'immersion est complète et la musique s'intègre à cela. On découvre le tueur au fur et à mesure, au début c'est juste une ombre jusqu'à ce qu'il mette son uniforme, celui qui lui permet de tenir, celui qui lui donne un visage et qui le définit. Personnage plein de contradiction, le tueur fou cherche à être traqué et pourtant il redoute l'issue de la traque, il se déclare guerrier, prêt à survivre, et son petit sourire content de lui quand il est à sa fenêtre observant son collègue qui a parfaitement suivit ses consignes, s'est laissé manipuler, un idiot faible tel est la vision qu'il en a, la vision qu'il a du monde, des autres, et parfois c'est eux qui l'écrasent, comme le déjeuner familial où il subit les moqueries de ses parents les dent serrées incapables d'ouvrir la bouche pour se défendre. Tuer est l'unique moyen de se libérer mais cela engendre de la souffrance, la fille qu'il a prit en stop déclenche des sentiments, des sanglots, des visions hallucinatoires, un besoin de cracher, de vomir. Au milieu de cette morne existence, celle du gendarme moderne, où pourtant le tueur joue le bon élève au point d'être furieux quand un collègue renâcle au boulot, et de vouer une certaine admiration sans borne pour son chef, il y a la seconde vie, celle du guerrier niché dans les bois contemplant les biches et les étoiles comme le ferait un enfant, le monde sauvage de la forêt, celle des fantasmes et de l'enfance, un monde préservé et puis il y a la nuit, la traque, la chasse, et les tics, les rictus, la colère, les larmes ravalées, la douleur qui le cisaille, ses paradoxes qui le remplissent, le font déborder, ces moments de crises palpables où la mise en scène particulièrement fine et le jeu assez exceptionnel de Guillaume Canet donne une profondeur au tueur abyssale. Mais le plus intéressant est sans doute la suite, lorsque le tueur est découvert. Cette longue séquence sur le face à face avec ses collègues, quand il est menotté, attaché et que même s'il nie toujours les faits, plus personne ne le croit. Le mélange d'incompréhension, de tristesse et de colère dans les visages alignés de ses collègues qui le fixent sans rien dire, incapables d'exprimer leur déception à haute voix. Et le moment où, lorsqu'ils visitent son appartement, sur le palier quand le chef comprend qu'il a une arme et la lui saisit, qu'il lui demande s'il comptait le tuer et que le tueur lui répond qu'il lui aurait collé deux balles dans la tête, instant profondément choquant, le regard du chef sans haine, juste plein d'incompréhension, incapable d'encaisser cela. Le film se finit trop tôt, on aurait envie d'avoir eu la réaction des autres, de Sophie, la femme amoureuse et aimante, bafouée, humiliée mais l'aimant encore et toujours en dépit de son comportement abominable avec elle, d'avoir aussi les réactions des parents. Une séquence dédiée au procès manque en conclusion. Malgré ce manque, LA PROCHAINE FOIS JE VISERAIS LE COEUR est diablement bon. Efficace, froid, pénétrant, glaçant, il rempli parfaitement sa mission. On ne peut que repenser à d'autres films de tueur, à HENRY PORTRAIT D'UN SERIAL KILLER par exemple, sa tentative d'amour se retrouve dans celui-ci, ou bien à MANIAC, ici comme dans le film de John McNaughton, on ne sait pas pourquoi il tue, ce qui a pu provoquer ça ne nous ai pas révélé, cela vaut sans doute mieux, cela le rend d'autant plus mystérieux. Le seul indice donné serait son homosexualité refoulée, mais l'indice ne suffit pas, il n'explique qu'en partie son comportement autodestructeur. Quoi qu'il en soit, LA PROCHAINE FOIS JE VISERAIS LE COEUR est un bon film, froid, glacé, ne cherchant pas à provoquer les larmes ou la pitié, il vise juste, frappe au bon moment, terriblement efficace Cédric Anger prouve la valeur d'une mise en scène presque effacée. Juste dans son ton, dans l'ambiance spectrale et brumeuse donnée à une France profonde dépeinte avec la justesse d'un Simenon où l'on retrouve l'atmosphère du film noir à la française malheureusement disparue si l'on excepte quelques rares exceptions comme le très bon MANGE TES MORTS - TU NE DIRAS POINT.
Guillaume Canet dans La prochaine fois je viserai le cœur — Mars distribution Guillaune Canet semble avoir un certain goût pour les faits-divers. Après avoir incarné l'énigmatique Maurice Agnelet dans L'homme qu'on aimait trop d'André Téchiné, il trouve un rôle encore plus inquiétant dans La prochaine fois je viserai le cœur de Cédric Anger, inspiré de l'affaire Alain Lamare, un gendarme fou qui terrorisa le département de l'Oise entre à la fin des années 1970. A la fois juge et partieCe qui est fascinant, c'est qu'il participait à l'enquête pour coincer le maniaque et qu'il se montrait passionné par son travail, explique le réalisateur. Il aurait dû être arrêté plus tôt mais personne n'envisageait qu'un gendarme puisse être coupable». Le réalisateur s'est appuyé sur l'excellent Un assassin au-dessus de tous soupçons J'ai lu, 7,60 € d'Yvan Stefanovitch pour écrire son scénario. Je n'ai pas rencontré les véritables protagonistes de l'affaire pour ne pas les importuner mais aussi parce que j'estimais que le témoignage d'un journaliste qui avait suivi toute l'affaire et connu Lamare était plus fiable», dit-il. Le point de vue du tueurLe réalisateur de L'Avocat 2010 a adopté le point de vue de Lamare, homme incolore et mal dans sa peau que son passage à l'acte sur de jeunes auto-stoppeuses ne soulage pas. Je souhaitais me démarquer de l'imagerie habituelle des tueurs en série machiavéliques et fascinants. Lui, c'est un pauvre type qui n'est même pas très doué comme assassin», dit le cinéaste. Les scènes d'agression brutales sans complaisance sont moins traumatisantes qu'une séquence où le gendarme est écœuré par la vue des cheveux de sa maîtresse dans la salle de bains. Il est tout le temps mal dans sa peau surtout dans les situations quotidiennes. J'ai voulu que le spectateur ressente son malaise».Guillaume Canet exceptionnelUne bonne partie du film pèse sur les épaules de Guillaume Canet, méconnaissable en policier psychorigide et terne capable de crises de violences incontrôlables. Il a tout de suite compris la complexité du personnage qu'il n'a pas cherché à rendre charismatique. Parce qu'il est lui-même réalisateur, Guillaume sait instinctivement comment nourrir chaque scène sans mettre son nez dans la mise en scène». L'acteur, d'une sobriété remarquable, est l'un des atouts majeurs de ce portrait d'un homme malade, d'autant terrifiant que qu'il se cache sous l'uniforme d'un défenseur de la loi.
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Accueil Culture 05h08 , le 9 novembre 2014 , modifié à 11h57 , le 20 juin 2017 Par Baptiste Thion Paru dans leJDD Dans La prochaine fois je viserai le cœur, inspiré par un fait divers survenu en 1978, Cédric Anger confie à l’acteur le rôle du tueur de l’Oise. Gendarme timide et modèle, l’assassin Guillaume Canet va être chargé d’enquêter sur ses propres crimes. Mars Distribution / Sunrise Film / Les Productions du TrésorFin des années 1970. L'angoisse gagne le département de l'Oise. Un mystérieux automobiliste percute volontairement des jeunes femmes. Puis l'agresseur change de mode opératoire et sa violence monte d'un cran après avoir pris en charge des auto-stoppeuses, il les tue à coup de revolver. En dépit des efforts déployés, l'homme reste insaisissable. Et pour cause… L'assassin est un gendarme qui participe à l'enquête. Cette traque rappelle l'histoire de Compartiment tueurs, le premier long métrage de Costa Gavras, où l'un des policiers était aussi le tueur, sauf que cette fois, tout est vrai, même les situations les plus improbables. Un tueur paniqué à la vue du sang Afin d'appréhender la folie du personnage, le réalisateur Cédric Anger s'est plongé dans les procès-verbaux, les témoignages, et le livre Un assassin au-dessus de tout soupçon, du journaliste Yvan Stefanovitch, qui a couvert l'affaire. "À l'époque, Alain Lamare était le plus véhément, le plus motivé dans la recherche du tueur, il secouait les autres, raconte le metteur en scène. À chaque fois qu'il croisait Stefanovitch, il lui disait "On va l'avoir ce salaud!"" Un comble… Selon le metteur en scène, il aurait rêvé de s'interpeller lui-même. Plutôt que de centrer l'intrigue sur une chasse à l'homme, Cédric Anger a choisi de dresser le portrait du meurtrier, il décrit son comportement sobrement sans tomber dans une analyse psychologisante. Comment expliquer l'inexplicable?Le cas du gendarme Alain Lamare reste une énigme. Apprécié de ses collègues, bon professionnel, personnalité affable, "le tueur de l'Oise" n'a pas le profil d'un déséquilibré. Difficile de cerner ses motivations. "C'est un pompier qui met le feu pour qu'il se passe quelque chose dans sa vie, explique Guillaume Canet, qui prête avec subtilité son physique d'homme apparemment normal au personnage. Les forces spéciales l'ont recalé et il le vit très mal. Il se joue de ses collègues car il veut prouver qu'il est meilleur qu'eux." En témoignent les lettres de menaces envoyées par le déséquilibré, qui s'achèvent par cette phrase glaçante "La prochaine fois, je viserai le cœur." Une formule qui, contrairement à ce qu'on pourrait penser, sonne comme un aveu d'impuissance. Si le gendarme est bon tireur, il se révèle brouillon lors de ses macabres escapades, ratant ses cibles, les blessant au ventre ou aux jambes. "À cause de sa nervosité, il a manqué beaucoup de ses victimes", précise l'acteur. Chez lui, il dort sous une tenteCar Lamare cultive les paradoxes le sang lui répugne et il idéalise les femmes sans parvenir à les aimer physiquement. "Il a la tête dans les étoiles et les pieds dans la gadoue", résume joliment Cédric Anger. L'homme surprend aussi par le lien qui semble l'unir à la nature. Il passe certaines nuits à la belle étoile, communie avec la forêt, connaît les arbres et discerne les différentes espèces d'oiseaux. Plus étrange encore chez lui, il opte pour la tente de camping. Un personnage double, à la fois ardu et passionnant à interpréter. "Il fallait une grande sincérité pour aborder les deux faces de cette personnalité, confie Guillaume Canet. Lui ne joue pas quand il est gendarme, il ne fait pas semblant. Je ne pouvais me référer à des sentiments que j'aurais vécus par le passé. Il fallait donc que je me mette à sa place." Alain Lamare sera arrêté près d'un an après le début de ses crimes. Les experts psychiatres le déclareront irresponsable de ses actes. Il ne sera jamais JDD papierLes plus lusPiscines privées Julien Bayou tente d’atténuer ses propos, la classe politique est vent deboutKohlantess des magistrats et avocats fustigent la communication démagogique » de Dupond-MorettiAvions russes Clément Beaune compte faire la lumière » sur les accusations contre TotalEnergiesSabrina Sebaihi, une proche de Yannick Jadot, va porter un nouveau courant chez Europe Écologie-Les VertsUne plainte déposée par la Fédération nationale des Chasseurs contre Sandrine RousseauPourquoi les hommes politiques aiment-ils gravir des montagnes ?Finlande le pays divisé après une vidéo où la Première ministre Sanna Marin fait la fêteRoyaume-Uni Liz Truss refuse de dire si la France est un ami ou ennemi », Emmanuel Macron lui répondAbonnez-vousSuivez-nous
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